CLASSES
DE PREMIÈRE
ET TERMINALE
MATHÉMATIQUES
SÉRIE ÉCONOMIQUE
ET SOCIALE
A. du 9-8-2000.
JO du 22-8-2000
NOR : MENE0001924A
RLR : 524-6 ;
524-7
MEN - DESCO A4
Vu L. d'orient.
n° 89-486 du 10-7-1989 mod. ; D. n° 90-179 du 23-2-1990 ; A. du 10-7-1992
mod. ; A. du 15-5-1997 ; A. du 18-3-1999 mod. ; avis du CNP du 13-06-2000 ;
avis du CSE du 29-6-2000
Article 1 - À
compter de l'année scolaire 2000-2001, les dispositions des arrêtés
du 10 juillet 1992 et du 15 mai 1997 susvisés relatives aux programmes
de mathématiques de la classe de première et d ela classe de terminale
de la série économique et sociale, sont modifiées conformément
au contenu de l'annexe 1 du présent arrêté.
Article 2 - À
compter de l'année scolaire 2001-2002, les dispositions de l'arrêté
du 10 juillet 1992 susvisé sont annulées, et celles de l'arrêté
du 15 mai 1997 susvisé sont modifiées, conformément au
contenu de l'annexe 2 du présent arrêté, pour ce qui concerne
l'enseignement obligatoire et l'enseignement obligatoire au choix de mathématiques
en classe de première de la série économique et sociale.
Article 3 - Le
directeur de l'enseignement scolaire est chargé de l'exécution
du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
Fait à Paris,
le 9 août 2000
Pour le ministre
de l'éducation nationale
et par délégation,
Le directeur de l'enseignement scolaire
Jean-Paul de GAUDEMAR
Annexe
1
Mathématiques
Série économique
et sociale
Première et terminale
Aménagement applicable à compter de l'année
scolaire 2000-2001
o
Le texte
de référence est le programme défini par l'arrêté
du 10 juillet 1992 (B.O. hors-série du 24 septembre 1992, tome II) et
par l'arrêté du 15 mai 1997 (B.O. hors-série n° 4 du
12 juin 1997). Cet aménagement est proposé afin de tenir compte
des modifications apportées au programme de seconde.
PREMIÈRE : ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
Chapitre 2 : "Algèbre - Analyse"
- Partie D : "Sens
de variation" :
dans le deuxième
paragraphe "Sens de variation et opérations sur les fonctions", remplacer
"Exemples
simples de recherche du sens de variation de f + g et de f.g
connaissant celui de f et de g" par "On pourra sur quelques exemples
observer le sens de variation de f + g (à partir de la
représentation graphique de (f + g)/2 par exemple), aborder
ici la somme de deux inégalités puis montrer que si f et
g sont croissantes (resp. décroissantes) sur un même intervalle,
alors f + g l'est aussi". Les variations de f.g
sont supprimées.
Dans la colonne
des compétences, supprimer
l'alinéa
correspondant : "Que si f et g sont à valeur strictement
positives [...], alors f.g l'est aussi".
- Partie E :
"Les approximations" :
le quatrième
paragraphe "Généralisation" est supprimé.
PREMIÈRE : ENSEIGNEMENT OPTIONNEL
Chapitre 1 : "Géométrie"
Partie A : "Géométrie
plane"
Supprimer tout
le dernier paragraphe (de "Produit scalaire de deux vecteurs du plan" à
"Conditions d'orthogonalité de deux vecteurs")
ainsi que les travaux pratiques.
TERMINALE : ENSEIGNEMENT OBLIGATOIRE
Chapitre D : "Analyse"
partie 1 : "Fonctions
numériques"
- Dans le paragraphe
d) "Fonctions usuelles", supprimer
la croissance
comparée des fonctions (si nécessaire, les sujets du baccalauréat
indiqueront les limites).
- Dans le paragraphe
e) : supprimer
la dérivée
logarithmique. On ne conservera dans ce paragraphe que la partie "Représentation
graphique de
ln f. Repères semi-logarithmiques" et le commentaire correspondant.
TERMINALE : ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ
Chapitre C : "Algèbre et géométrie"
Dans la partie
2 : "Géométrie",
- supprimer : "Extension
du produit scalaire à l'espace" et "distance d'un point à un plan".
Les élèves n'ont pas étudié le produit scalaire
dans le plan (allégements de novembre 1998), il est donc supprimé
également dans l'espace. On utilisera simplement la condition d'orthogonalité
de deux vecteurs pour introduire la notion d'équation cartésienne
d'un plan.
- Dans les travaux
pratiques,
- supprimer "Exemples
de calculs de la distance d'un point à un plan", et ce qui concerne les
fonctions de deux variables (mais les enseignants pourront, s'ils le souhaitent,
en donner des exemples en cours d'année).
Annexe
2
Mathématiques
Série économique
et sociale
Première - enseignement obligatoire
Nouveau programme applicable
à compter de l'année scolaire 2001-2002
1 - OBJECTIFS GÉNÉRAUX
POUR LA SÉRIE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
La science est un moyen ("déraisonnablement efficace" pour paraphraser
Wigner) de rendre le monde qui nous entoure intelligible et partiellement prévisible
: l'institution scolaire se doit de favoriser l'accès à ce moyen
pour tous les lycéens, en particulier ceux de la série économique
et sociale. Dans cette perspective, est réaffirmé ici le caractère
indispensable d'un enseignement de mathématiques consistant dans cette
série, et ce d'autant plus que par le biais des progrès technologiques,
les mathématiques sont de plus en plus massivement présentes.
Cet enseignement
doit en particulier aider les élèves à intégrer
des mathématiques dans leur mode de pensée ; c'est là un
travail de longue haleine et, à l'issue du cycle première-terminale,
les élèves devraient avoir rencontré quelques types de
questions appelant un traitement mathématique et saisi la nature des
réponses que les mathématiques leur apportent.
Dans un premier
temps les objectifs suivants seront prioritairement visés :
- entraîner
à la lecture active de l'information, à sa critique éclairée
et à son traitement, en particulier en privilégiant les connaissances
et les méthodes permettant des changements de registre (graphique, numérique,
algébrique,...) ;
- initier les élèves
à la pratique d'une démarche scientifique globale, mêlant
observation, exercice de l'imagination, questionnement, synthèse, usage
de la logique, argumentation et démonstration mathématique ;
- favoriser le travail
personnel des élèves et donner la possibilité et le goût
des problèmes consistants ou non entièrement balisés, qu'ils
viennent des mathématiques ou d'ailleurs ;
- promouvoir la
cohérence de la formation des élèves en s'appuyant sur
l'intuition, en relevant systématiquement les liens entre les différentes
parties du programme et en exploitant les jonctions entre les mathématiques
et les autres disciplines.
2 - MATHÉMATIQUES ET INFORMATIQUE EN PREMIÈRE ET TERMINALE ES
On peut souligner
deux aspects du lien entre mathématiques et informatique.
- Utiliser des outils
logiciels (sur calculatrice ou ordinateur) requiert des connaissances et des
compétences mathématiques que cette utilisation contribue en retour
à développer. Le programme insiste pour que cet aspect du lien
entre mathématique et informatique soit travaillé à tous
les niveaux ; il ne s'agit pas d'apprendre à devenir expert dans l'utilisation
de tel ou tel logiciel, mais de connaître la nature des questions susceptibles
d'être illustrées ou résolues grâce à l'ordinateur
et de savoir comment analyser les réponses fournies ; l'élève
doit apprendre à situer et intégrer l'usage des outils informatiques
dans une démarche scientifique.
- L'informatique
a totalement transformé le paysage des mathématiques ; elle permet
la confrontation aisée de plusieurs modèles, le calcul effectif
de solutions non explicitables d'équations, la pratique de la simulation
; des logiciels mettent à la portée d'un nombre toujours plus
grand d'individus des applications de mathématiques sophistiquées,
en particulier dans les entreprises. Une évolution des méthodes
d'enseignement voire des contenus se fera peu à peu ; s'il est nécessaire
de l'amorcer dès aujourd'hui, il convient aussi de réfléchir
et d'expérimenter diverses stratégies éducatives.
Le programme ne
fixe pas de répartition entre différentes modalités qui
doivent toutes être présentes : activités des élèves
sur ordinateur ou sur calculatrice programmable graphique, travail de la classe
entière (ou d'un groupe) utilisant un ordinateur muni d'un dispositif
de visualisation collective. Il convient en ce domaine que les professeurs déterminent
en chaque circonstance la stratégie d'utilisation la plus adaptée.
3 - ORGANISATION DE L'ENSEIGNEMENT ET DU TRAVAIL DES ÉLÈVES
L'horaire hebdomadaire
est, pour la partie obligatoire, de 3 heures en première dont une demi-heure
dédoublée et de 4 heures en terminale ; s'y ajoutent 2 heures
d'enseignement au choix en première et 2 heures d'enseignement de spécialité
en terminale. Une cohérence forte s'impose entre les parties obligatoire
et au choix (ou de spécialité) ; seule leur attribution à
un même enseignant pourra réellement la garantir.
Chaque professeur
garde toute liberté pour l'organisation de son enseignement, dans le
respect des contenus et modalités de mise en uvre précisés
dans les tableaux du paragraphe suivant.
L'enseignant veillera
à équilibrer les divers temps de l'activité mathématique
dans sa classe ; travail sur problèmes et exercices, élaboration
de démonstration, exposé magistral, synthèse,... rythmeront
les heures de classe et viseront tous à promouvoir chez chaque élève
une implication active et l'acquisition de la démarche mathématique
décrite au paragraphe 1. À cet égard, les travaux proposés
en dehors du temps d'enseignement, à la maison ou au lycée, jouent
aussi un rôle primordial ; ils ont des fonctions diversifiées :
- la résolution
d'exercices d'entraînement, en lien avec l'étude du cours, permet
aux élèves d'affermir leurs connaissances de base et d'évaluer
leur capacité à les mettre en uvre sur des exemples simples
;
- les travaux individuels
de rédaction (solution d'un problème, mise au point d'exercices
étudiés en classe,...) visent essentiellement à développer
les capacités de mise au point d'un raisonnement et d'expression écrite
; vu l'importance de ces objectifs, ces travaux de rédaction doivent
être réguliers, mais leur longueur doit rester modeste ;
- les devoirs de
contrôle, peu nombreux, combinent des exercices d'application directe
du cours (voire des questions de cours), des problèmes plus synthétiques,
comportant des questions enchaînées de difficulté et des
questions plus ouvertes (telles la recherche d'informations pertinentes ou le
traitement adapté de données chiffrées en vue de leur interprétation).
Il est à
noter que les travaux personnels encadrés (TPE) permettent d'aborder
des situations plus complexes et de mener un travail sur le long terme.
4 - LES CONTENUS DU
PROGRAMME DE LA CLASSE DE PREMIÈRE ES
L'enseignement des
mathématiques en série ES a été notablement repensé
durant la dernière décennie. Le présent programme reprend
les intentions définies alors : souci d'inscrire les mathématiques
dans la formation générale des élèves de cette série
en cohérence avec les autres disciplines, traitement privilégié
de l'information "chiffrée" sous toutes ses formes, introduction motivée
et étude progressive de concepts mathématiques nouveaux. Une réécriture
partielle s'est néanmoins imposée compte tenu de la mise en place
de nouveaux programmes au collège puis en seconde ; certains points,
du fait de leur nouveauté, sont rédigés de façon
assez détaillée, les autres de façon plus concise. En revanche
des modifications substantielles ont été apportées au contenu
de l'enseignement au choix de première et à la spécialité
de terminale.
Les tableaux qui
suivent comportent trois colonnes : la première indique les contenus
à traiter ; la seconde fixe, lorsque cela est nécessaire, des
modalités de mise en uvre, notamment informatiques ; la troisième
explicite le sens ou les limites de certaines questions.
L'ordre adopté
ici par commodité pour présenter les divers paragraphes des chapitres
ne doit pas être opposé aux liens qui unissent ces paragraphes
et que l'organisation du cours permettra de mettre en évidence : aucun
ordre n'est imposé et
les contenus peuvent être réorganisés suivant d'autres chapitres.
Traitement des données
et probabilités
La manipulation
avisée des pourcentages est un objectif minimum que tout enseignement
de mathématiques se doit d'atteindre ; il convient sur ce sujet de conforter
tout au long de la scolarité les acquis et la pratique d'automatismes
intelligents ; ceux-ci seront mis en uvre en particulier lors de la lecture
critique de résultats fournis par les médias.
La statistique est
utilisée aujourd'hui dans de nombreux domaines ; il ne s'agit pas là
d'une mode passagère mais de la diffusion d'une culture et d'un mode
de pensée très ancien, rendue possible par les progrès
simultanés de la théorie mathématique et de la technologie
informatique. Chaque domaine a une pratique très spécifique de
la statistique fondée sur une problématique propre, la nature
des expériences que l'on peut faire, la nature et les propriétés
des données à traiter, les techniques les plus souvent mises en
uvre (on parle ainsi de statistique médicale, de statistique industrielle,
de statistique financière, de physique statistique, etc.).
Dans les domaines
spécifiques à la série ES, les données sont souvent
ordonnées (série chronologiques), l'ordre étant capital
(ce qui n'était en général pas le cas pour les séries
étudiées en seconde). De plus, la définition de ces données
est souvent complexe (indices économiques, données moyennées
ou lissées,...). Les élèves devront acquérir le
réflexe de réfléchir sur la nature même des données
traitées avant de commenter la structure qui se dégage de leur
description graphique et numérique.
En statistique descriptive,
on introduit :
les diagrammes
en boîtes qui permettent d'appréhender aisément certaines
caractéristiques des répartitions des caractères étudiés
et qui complètent la panoplie des outils graphiques les plus classiquement
utilisés ;
deux mesures
de dispersion : l'écart-type et l'intervalle interquartile.
Ces éléments
pourront être travaillés sur des séries de données
collectées dans d'autres disciplines (notamment en économie) et
sur des séries simulées. Cette partie descriptive ne doit pas
faire l'objet de longs développements numériques, ni être
déconnectée du reste du programme de probabilités et statistique.
On n'abordera pas
les problèmes de recueil des données qui varient considérablement
d'un domaine à l'autre ; ces questions font l'objet d'enseignements spécifiques
dans les études qu'un élève de ES est susceptible d'entreprendre
ultérieurement (sciences humaines, économie, finances, etc.).
La partie du programme
consacrée aux probabilités est centrée sur quelques concepts
de base : ceux-ci seront introduits pour expliquer certains faits simples observés
expérimentalement ou par simulation.
La simulation joue
un rôle important : en permettant d'observer des phénomènes
variés, elle amène les élèves à enrichir
considérablement leur expérience de l'aléatoire et favorise
l'émergence d'un mode de pensée propre à la statistique
; elle rend de plus nécessaire la mise en place de fondements théoriques.
En première, on explicitera ce qu'est la simulation d'une expérience
(détermination d'un modèle de cette expérience suivie de
la simulation de ce modèle) ; on indiquera que la simulation permet,
d'une part, d'avoir des estimations de résultats impossibles à
calculer explicitement et d'autre part, par la comparaison de résultats
simulés et de résultats expérimentaux, de valider des modèles.
L'outil naturel
pour traiter les problèmes de ce chapitre est l'ordinateur. Les élèves
devront par ailleurs savoir utiliser leur calculatrice en mode statistique pour
de petites séries.
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au format PDF (tab.pdf
- 3 pages - 35 Ko)
Attention, il se peut que, sur certains écrans, les tableaux apparaissent de
mauvaise qualité. Pour une lecture optimale, nous vous conseillons de les imprimer
au format 100%.
CLASSES
DE PREMIERE ET TERMINALE
MATHÉMATIQUES
SÉRIES TECHNOLOGIQUES
SMS - STI - STL - STT
A. du
9 -8-2000. JO du 22-8-2000
NOR : MENE0002057A
RLR : 524-9
MEN - DESCO A4
Vu L. d'orient.
n° 89-486 du 10-7-1989 mod. ; D. n° 90-179 du 23-2-1990 ; A. du 27-3-1991
; A. du 10-7-1992 ; A. du 10-6-1994 ;
arrêtés du 1-8-1997 ; avis du CSE du 11-7-2000
Article 1 - Les
arrêtés des 27 mars 1991, 10 juin 1994 et 1er août 1997 susvisés
sont modifiés conformément aux dispositions portées en
annexe du présent arrêté.
Article 2 - Ces
modifications entrent en application à compter de l'année scolaire
2000-2001 pour la classe de première et à compter de l'année
scolaire 2001-2002 pour la classe terminale.
Article 3 - Le
directeur de l'enseignement scolaire est chargé de l'exécution
du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel
de la République française.
Fait à Paris,
le 9 août 2000
Pour le ministre de l'éducation nationale
et par délégation,
Le directeur de l'enseignement scolaire
Jean-Paul de GAUDEMAR
Annexe
Mathématiques
Séries technologiques
Aménagements applicables
- à compter de l'année scolaire 2000-2001 pour les classes de
première
- à compter de l'année scolaire 2001-2002 pour les classes terminale
Ces aménagements
sont proposés afin de tenir compte des modifications apportées
au programme de seconde.
1 - SÉRIE SMS (SCIENCES MÉDICO-SOCIALES)
Première
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 27 mars 1991 (BOEN
spécial n° 2 du 2 mai 1991).
Dans le chapitre
III : "Fonctions numériques", la fonction cube sera
introduite à
titre d'exemple et pourra devenir une nouvelle fonction usuelle.
Terminale
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 10 juin 1994 (B.O.
spécial n° 8 du 7 juillet 1994).
Lors des travaux
pratiques du chapitre II.2 : "Statistique", on
introduira la
notion d'écart-type : on s'attachera au sens et à l'interprétation
de cet indicateur, mais son calcul sera systématiquement fait à
la machine.
2 - SÉRIE STI (SCIENCES ET TECHNOLOGIES INDUSTRIELLES)
Première (spécialités : génie mécanique,
génie des matériaux, génie électronique, génie
électrotechnique,
génie civil, génie
énergétique, génie optique)
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 27 mars 1991 (BOEN
spécial n° 2 du 2 mai 1991).
- Pour l'étude
des nombres complexes (chap. II.1.d) et la trigonométrie (chap.III.2.e
"Fonctions circulaires"et IV.1 "Calcul vectoriel dans le plan"), on
développera la
connaissance du cercle trigonométrique abordée en classe de 2nde
par le simple "enroulement" de P sur le cercle trigonométrique ; on
se limitera à
une approche intuitive des angles orientés ; on établira les liens
usuels entre les sinus et cosinus de x, -x, x + k2p,
p +
x, p
- x, p/2
- x, ...
- Dans le chapitre
III : "Fonctions numériques", la fonction cube sera
introduite à
titre d'exemple et pourra devenir une nouvelle fonction usuelle.
- Dans le chapitre
IV : "Géométrie", partie 1 : "Calcul vectoriel dans le plan",
le premier paragraphe relatif au barycentre est remplacé par :
"Entretien du calcul
vectoriel en liaison avec les disciplines industrielles et la physique. La notion
de barycentre pourra être abordée lors du traitement d'exemples."
Première (spécialité : arts appliqués)
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 1er août 1997
(B.O. hors-série n° 8 du 2 octobre 1997).
Dans les travaux
pratiques du chapitre IV : "Géométrie", on
pourra ne
pas introduire le mot homothétie et s'appuyer simplement sur les notions
d'agrandissement-réduction vues au collège et réutilisées
en 2nde.
Terminale
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 27 mars 1991 (BOEN
spécial n° 2 du 2 mai 1991).
Aucune modification.
3 - SÉRIE STL (SCIENCES ET TECHNOLOGIES DE LABORATOIRE)
Première (spécialités : physique de laboratoire
et de procédés industriels, chimie de laboratoire et de procédés
industriels)
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 27 mars 1991 (BOEN
spécial n° 2 du 2 mai 1991).
- Pour l'étude
des nombres complexes (chap. II.1.d) et la trigonométrie (chap.III.2.e
et IV.1), on développera la connaissance du cercle trigonométrique
abordée en classe de 2nde par le simple "enroulement" de P sur le cercle
trigonométrique ; on se limitera à une approche intuitive des
angles orientés ; on établira les liens usuels entre les sinus
et cosinus de x, -x, x + k2¼,
¼
+ x, ¼
- x, ¼/2
- x, ...
- Dans le chapitre
III : "Fonctions numériques", la fonction cube sera
introduite à
titre d'exemple et pourra devenir une nouvelle fonction usuelle.
- Dans le chapitre
IV : "Géométrie", partie 1 : "Calcul vectoriel dans le plan",
le premier paragraphe relatif au barycentre est remplacé par :
"Entretien du calcul
vectoriel en liaison avec les disciplines industrielles et la physique. La notion
de barycentre pourra être abordée lors du traitement d'exemples."
Première (spécialité biochimie - génie biologique)
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 27 mars 1991 (BOEN
spécial n° 2 du 2 mai 1991).
Dans le chapitre
III : "Fonctions numériques", la fonction cube sera
introduite à
titre d'exemple et pourra devenir une nouvelle fonction usuelle.
Terminale
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 10 juin 1994 (B.O.
spécial n° 8 du 7 juillet 1994).
Aucune modification.
4 - SÉRIE STT (SCIENCES ET TECHNOLOGIES TERTIAIRES) - TOUTES SPÉCIALITÉS
Première
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 10 juillet 1992
(BOEN hors-série n° xxdu 24 septembre 1992).
Dans le chapitre
II.2 : "Statistique", on introduira la notion d'écart-type : on s'attachera
au sens et à l'interprétation de cet indicateur, mais son calcul
sera systématiquement fait à la machine.
Dans le chapitre
III : "Fonctions numériques", la fonction cube sera
introduite à
titre d'exemple et pourra devenir une nouvelle fonction usuelle.
Terminale
Le texte de référence
est le programme défini par l'arrêté du 10 juin 1994 (B.O.
spécial n° 8 du 7 juillet 1994).
Aucune modification.